La première fessée que j’ai reçue c’était à l’école. J’avais murmuré un peu trop fort à un copain que la maîtresse était une salope. Elle l’a entendu, a arrêté son cours pour venir m’attraper par l’oreille pour me guider jusqu’à l’estrade. Ni une ni deux, elle a baissé mon short et ma culotte en même temps puis m’a couché sur ses genoux pour me flanquer une fessée devant toute la classe.

Cette histoire réelle je l’ai racontée à une amie coquine avec laquelle j’entretenais une relation intime. Elle m’a posé des questions pour en savoir plus avant de me mettre mal à l’aise en perçant mon fantasme de le revivre. Cette garce m’a comme envoûté en élevant la voix comme si elle me grondait à nouveau pour cette faute commise 20 ans plus tôt. J’ai perdu pied comme l’on dit, je ne savais plus où me mettre. Nous étions chez moi et prenions un verre. Elle s’est levée et m’a attrapé par l’oreille pour que je me mette debout.

Oubliant nos âges, notre relation, je n’ai pas résisté alors que j’aurai très bien pu l’arrêter. Sans lâcher mon oreille, d’une main elle a attrapé une chaise pour s’asseoir en me disant qu’elle allait m’apprendre le respect. Ce n’est que quand elle a entrepris de défaire mon pantalon que j’ai compris où elle voulait en venir. Ce qui est fou, c’est qu’à ce moment là, j’étais comme perdu et sans volonté.

Mon pantalon et mon caleçon ont chu sur mes chevilles, je n’ai opposé aucune résistance quand elle m’a guidé sur ses genoux. Je m’y suis installé et avant même que je me sois calé, elle a commencé à me fesser. Elle n’y est pas allée de main morte, elle me fessait vraiment. La douleur était supportable mais bien réelle, j’ai mordu mes lèvres pour ne pas crier quand elle a tapé sur mes cuisses. Ma tête s’est mise à bourdonner, pendant cette fessée qui a duré un petit moment quand même. Les yeux fermés, je me suis abandonné à sa main, à son autorité.

Quand elle s’est arrêtée et m’a ordonné de me relever, je venais de vivre ma première fessée d’adulte, mon souffle était court, rapide, perturbant. Mon amie a constaté que si je ne bandais pas, de ma verge coulait un peu de sperme. Elle me l’a fait remarquer en me plongeant un peu plus dans la gêne avant de me conduire au « piquet » s’avérant être le mur. J’étais incapable de résister. Alors que j’avais les mains sur la tête, elle s’est lové contre moi pour venir saisir mon sexe flasque et s’en amuser.

Elle m’a alors avoué qu’elle avait bien aimé avant de me faire pivoter pour m’embrasser et me dire, qu’elle avait envie de faire l’amour. Ce fut merveilleux.

Depuis, de temps en temps, et parfois quand elle a des envies.... elle trouve des prétextes pour me donner la fessée qui devient le prélude à nos câlins.

Garnement

P.S. la photo est du net, ce n'est pas elle ni moi